Le journal – 31 janvier 2013
Réécoutez le journal de 8h30 – Siham Najmi
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Il rit, elle rit, il rit, ils rient , moi pas , mais encore :
MODERNE : switch on Bach
ALL MY FAITH LOST : Land’s end
LOPHORINA : the new deal
QVALES ENSEMBLE : Sprudledamer
ESTAMPIE : Konvulsionslaten
YOKO MAEKAWA : mahou no mambo
SONOKO : sunny day
AHN SOOK SUN : rabbit story
LES ROMANESQUES : zoun doko bushi (Tous les citoyens !)
SEIJUN : mushebu no hyo
TATA BOJS : jednotka casu
JAY ALANSKY : un maximum de lumière
NAUTILUS POMPILIUS : apyn apyn
MICHAEL SCHIEFEL : I don’t belong
DENISE BENOIT : au jardin du Luxembourg
et des bises !!
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L’équipe vous emmène cette semaine au Festival de Liège. La biennale allie parfaitement théâtre et politique avec des créations venues de par le monde. Certaines décentralisations nous permettent d’en avoir un aperçu à Bruxelles. Mais que ça ne vous empêche pas de pousser une pointe jusqu’à la Cité ardente:
– Tratando de hacer una obra que cambie el mundo, par la compagnie chilienne Re-sentida au National encore ce 30 janvier et puis en partance à Charleroi, Liège et Huy.
– La grande et fabuleuse histoire du commerce, de Joël Pommerat du 7 au 9 février à Liège.
Ne manquez pas The Blue Boy par les Irlandais de Brokentalkers à Bruxelles (National) les 1er et 2 février avant de partir pour Liège et Mons.
Toute la programmation du festival.
PAUSE MUSICALE: Claude Semal – Bonus Mali
– Claude Semal présentera son dernier spectacle Ceci n’est pas un chanteur belge dans le cadre du festival La Cerise du Gâteau au Centre culturel d’Uccle le 2 février
– Visions, un superbe seul en scène de Pierre Mégos qui allie cinéma et théâtre à la Balsamine jusqu’au 9 février.
Au niveau des reprises:
– Schitz, de Hanoch Levin dans une mise en scène de David Strosberg du 31 janvier au 9 février au KVS.
– La Revanche de Gaby Montbreuse, de Victor Scheffer et Laure Godisiabois. Du sur-mesure pour la comédienne au Petit Théâtre Mercelis jusqu’au 9 février.
PODCAST – Dès vendredi sur Demandez Le Programme et dans le centre de ressources de la Bellone.
La Conspiration des Planche, le magazine critique des arts de la scène de Radio Campus Bruxelles. Tous les mercredis à 19h et le jeudi en rediffusion à 13h30.
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Avec , présentés, par E.G. Eerebout :
JULES JANIN : L’âne mort (marabout , collection : bibliothèque excentrique)
puis :
HEGESIPPE MOREAU : Le Myosotis , petits contes et petits vers (Lardanchet) qui est une édition épuisée mais la partie comprenant les contes, est, elle, disponible : HEGESIPPE MOREAU : contes à ma soeur (l’Harmattan, collection : les introuvables)
et les adieux de Miss Chloé , avec :
KENNETH COOK : l’ivresse du kangourou (J’ai lu , n°10184)
et
notre pause musicale :
FIRST AID 4 SOULS : the golden Lord’s prayer
Bonnes lectures et à la prochaine !!!
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R’wan – Le CRS Mélomane (FR)
Ioanes Trio – Le cabarêt métèque (FR)
Dee La Kream – Le rêve de Jef Costello (FR)
Raimundo Amador – Yo me quedo en Sevilla
Mon Onc’Segre – Le Joual (FR)
Koma – Almohada Cervical
Barricada – Tentando la suerte
Swear to Protect the Revolution
Maestrorage – Tetris Arsenic
Marea – Marea
Saurom – Se acerca el invierno
Bongripper – Satan
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• L’ORNITHOPTÈRE À PROPULSION HUMAINE (II)
• avec: Xavier de GHELLINCK, docteur-ingénieur civil ULB.
• diffusions: mardi 29 janvier de 18h15 à 19h & mercredi 30 janvier de 09h à 09h45.
• Suite de l’aventure de son vol humain avec ses propres ailes et sans moteur! Nous avions récemment reçu Xavier de Ghellinck qui nous avait expliqué son intuition, la vision de l’envol d’un pélican à deux pas de son bâteau lors de son voyage de noces ! …une question de conformation de l’aile au démarrage.
Calculs de dépenses d’énergie, de faisabilité etc, ça pouvait marcher! Des ailes mûes par les biceps sont plus efficaces que mûes par les cuisses, bien que les biceps soient plus faibles. C’est parce qu’au total, la configuration en vol « biceps » est plus stable et plus économique ! Et c’est bien la solution qu’a trouvée l’Évolution ! Xavier a convaincu des profs de l’ULB de soutenir cette recherche et celle-ci progresse.
Son nom: projet « ICARUS 2013 ».
On annonçait les premières démos officielles pour fin janvier. Comme toujours en recherche, des difficultés imprévues ont rallenti l’envol de notre homme. Mais nous avons fait des progrès substantiels (je dis nous parce queRadio Campus s’associe à cette aventure! ). Si Xavier ne parvient pas encore par cette technique à décoller du sol, il réussit quand même à alléger son poids d’un tiers. Les expériences ont été menées avec une balance d’atelier qui montre que son poids diminue de 30 kg lors de l’impulsion de l’aile. Comme cette recherche implique aussi une réflexion technique sur une bonne utilisation de l’énergie, des pertes ont été repérées. D’autres gains sont envisagés grâce à des modifications des ailes. On peut donc penser que le décollage aura lieu au printemps.
Le point clé est que, pour la première fois dans l’histoire del’aviation (!), le principe de décollage n’est pas de jouer sur la portance de l’aile obtenue par un vent de face (par translation horizontale au moyen d’hélice ou de réacteurs), portance d’ailes rigides et fixes.
Il s’agit de décoller sur place, même dans l’air calme, comme le font l’immense majorité des oiseaux, avec des ailes qui s’adaptent selon qu’elles s’élèvent ou s’abaissent!
C’est un changement de paradigme grâce auquel l’un des plus anciens rêves de l’humanité est à portée de bras !
Avez-vous remarqué qu’on dit plutôt décollage pour les avions, et envol pour les oiseaux ? C’est significatif.
Et l’astuce «ingéniérique » vient de cette vision de près du pélican qui a lancé cette formidable quête technique, elle porte sur la conformation de l’aile qu’on peut révéler ici : le pélican modifie l’orientation de ses plumes de telle sorte que quand l’aile monte, les plumes s’écartent et se superposent partiellement, ce qui crée des « vides » dans l’aile, sa surface donc sa prise d’air sont diminuées. Et quand l’aile descend, les plumes reprennent leur position « par défaut », sans vides, la surface est d’un seul tenant vis-à-vis de l’air sur lequel l’oiseau s’appuye littéralement pour décoller. Et lorsqu’il a quitté le sol (ou l’eau), par ce jeu de « volets de plumes », il peut très vite relever ses ailes (avant de tomber) puis poursuivre son élévation en se réappuyant sur l’air. En vol de croisière, la notion de portance redevient pertinente.
C’est ce principe de jeu sur la surface de l’aile que Xavier traduit dans une petite machinerie de son invention au moyen des nouveaux matériaux qui rendent la chose possible. L’article envoyé pour publication devrait paraître dans quelques mois.
Xavier a entamé un programme de musculation ad hoc, et surtout, il faut apprendre à piloter ce genre d’engin ! Aucun Homo sapiens ne le fit jamais jusqu’ici ! Il doit inventer lui-même comment ça se dirige!
Un petit battement d’aile pour l’homme, un grand bond pour l’Humanité !
Dès qu’il y a du neuf, Campus sera là !
Infos et contact : <icarus-word@hotmail.fr>
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