Une série audio pour mieux comprendre l’histoire partagée entre la Belgique et le Maroc.
Partez à la découverte de l’immigration marocaine en Belgique, à travers les faits historiques, mais aussi les enjeux linguistiques, culturels et identitaires soulevés par cette histoire commune.
Le podcast Belgica Biladi : Une histoire belgo-marocaine explore les liens historiques entre la Belgique et le Maroc en s’appuyant sur des témoignages et analyses d’experts. Chaque épisode aborde une facette des enjeux de l’immigration marocaine en Belgique, de l’arrivée des travailleurs marocains aux luttes sociales et culturelles contemporaines.
La série documentaire (6 épisodes)
Épisode 1 : Le Maroc, pays de migrations Des échanges historiques dès le XIXe siècle au rôle méconnu des soldats marocains dans les guerres mondiales, jusqu’à l’installation massive des Marocains en Belgique dans les années 1960. Invité·e·s : Sylvie Lausberg (historienne et psychanalyste), Mohamed Charef (géographe-urbaniste, expert des migrations), Merouane Touali (consultant en communication et relations publiques).
Une radio dans une école ? Dans une rue de Saint-Gilles se trouve LIRL, le Lycée Intégral Roger Lallemand. Un projet se monte avec une fréquence fm, un studio est construit, les micros sont là… Et la première émission de LIRL Radio se lance !
Pour célébrer l’arrivée du printemps, les élèves du LIRL ont fait un tour au parc Duden pour récolter des recettes printanières, des conseils de mode, des petites histoires. Iels nous parlent aussi de leurs souhaits pour la future radio et de la programmation qu’iels envisagent.
Vous entendrez les voix de Giulia, Léo, Lucas, Zyad, Anita, Billie, Shanys, Ethan, Sacha, Etan, Léa, Anaïs, Nicolas, Diego, Wassim et Solal
Un atelier de la collective tuba avec Emma & Nas, Tamara, professeure à LIRL, Susie de Radio Panik
A deux pars de la place Morichar, le LIRL est un établissement secondaire communal qui propose un enseignement général avec des classes de la 1re à la 6e année. Le projet d’école reflète une pédagogie émancipatrice contemporaine, dans la continuité de l’enseignement fondamental communal. Le moteur de ce projet est une méthodologie réconciliant travail intellectuel et travail manuel (« éducation intégrale »), épanouissement personnel et construction d’intelligence collective, bienveillance et exigence. Les dispositifs d’apprentissage sont variés : méthodes actives, projets, ateliers créatifs et/ou manuels, tutorat, travail autonome, … Les élèves sont responsabilisé·e·s en participant à la cogestion de l’école. Pour en savoir plus : http://lirl.be/projet-pedagogique/
Le Pain qu’on Sème – Épisode 5, Le réveil des moulins
Le Pain qu’on Sème : Paroles et réflexions sur la relocalisation des filières de céréales panifiables en Wallonie.
Dans cet épisode, nous explorons les possibles pour relocaliser la filière du grain au pain en nous attaquant au maillon le plus central et pourtant le moins (re)connu de la filière ; la meunerie.
Pour comprendre le paysage actuel, il nous faudra d’abord remonter le temps et retracer la trajectoire de la meunerie belge, depuis l’époque où “on cultivait encore pour manger”. Aujourd’hui, la meunerie semble appartenir au passé…
Qui s’y intéresse encore quand il reste si peu de moulins, si peu de meunier.e.s en activité en Wallonie ? Les outils, eux aussi, ont presque tous disparu. Quel sens peuvent encore y trouver les jeunes qui veulent se lancer? Surtout quand beaucoup s’accordent à dire que la meunerie est le maillon le moins rentable. Pas à pas, on décrypte le fonctionnement du système dominant et on réalise l’importance de préciser l’échelle de la filière envisagée.
Chez les artisans et artisanes, le mot qualité prend un sens différent de celui de l’industrie. Ici, on cherche un produit qui est juste, qui est local, avec le moins d’impact possible sur l’environnement, on recherche le goût et les bons nutriments. À leur façon, iels imaginent des filières solidaires, où les risques sont partagés. Des filières où le moulin retrouve sa place chantante, sa place nourricière.
Artist : Noémie Maughan (ULB) et Lou Chaussebourg (ULiège)
Recherche Épicène financée par le Fond National de la Recherche Scientifique (FNRS), et menée par le Laboratoire d’Économie et Développement Rural de l’Université de Liège, Gembloux Agro Bio-Tech et le Laboratoire d’Agroécologie de l’Université Libre de Bruxelles
Involved people: Jürg Schupisser, Frédéric Nain, Marc Châtel, Bruno Godin, Plume Smeesters, Jonathan Lenartz, Hélène Louppe, Julien Beuve-Méry, Samy Fourari, Fanny Dumont, Philippe Genêt, Raphaël Villafrate, Vincent Minet, Sofia Baruffol et Renaud Keutgen.
Aide à la réalisation : “Comme un lundi” asbl
Mixage : Bastien Hidalgo Ruiz
Musiques originales : Pierre Allouch et Tarek Bassiouny
Visuels – Pierre Mariscal et Charlotte Sauvion
Pour aller plus loin :
La formation qualifiante en meunerie à l’IFPME en cours d’élaboration est prévue pour la rentée 2026-27.
Actuellement il est question d’une formation d’un (1) an (cours professionnels env. 250h + convention de stage). Meunerie industrielle et meunerie artisanal abordées et choix pour le stage.
Alternant interviews d’experts en innovation technologique, en astronomie et récits d’extrapolation, Futurama propose un panorama déjanté du futur. Suivez Léonie dans une création sonore où elle se confronte aux intelligences artificielles, robots, traces informatiques…et se demande qui sont les plus dangereuses, elle ? ou eux ?
Futurama Le Panorama du futur, une création sonore de Aurélie Alessandroni aka Sidonie Ale Montage, habillage sonore et mixage : Sara Pennetier Composition musicale : Léon Roturier Avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles dans le cadre d’un Futur pour la Culture Textes : Aurélie Alessandroni Remerciements : Paul Pourveur et Sara Pennetier pour leur relectures Koen Cobbaert, Annah et The General Bazaar, Sebastien Nahon et l’équipe du MiiL, Quentin Burton, Yann Aël Le Borgne et André Fuzfa pour les interviews Lola Chuniaud et Isaac Thomas pour les voix d’ambiance Chloé Jacqmotte, Luis Akakpo, Rémon Jr, Valérie Cordy, l’équipe de la fabrique de théâtre de Mons et Hugo Dinër. L’illustration du podcast a été réalisée par Charlotte Lippinois Merci à la Maison européenne des auteurs et des autrices, merci à l’université de namur grâce à laquelle j’ai pu découvrir l’observatoire astronomique Antoine Thomas, Avec le soutien du MiiL de l’UClouvain
Quatre parents « rompus » par leurs enfants devenus adultes content avec pudeur la façon dont ils et elles vivent cette déchirure. Leurs pensées cheminent entre deuil et espérance, dévoilent le poids de ce qui se tait. Rompant le silence des familles, leurs paroles se croisent, s’altèrent, révèlent ce qui s’énonce rarement. Un récit choral sur l’incompatibilité de certains êtres, le transfert des traumas et l’incapacité même à nommer.
Écriture, prise de son, réalisation et montage : Virginie Jortay et Stéphanie D’Haenens Mixage : Jonathan Vanneste Témoins : Michèle, Marianne, Michel et Yves. Conseils artistiques : Malin Björk, Hervé Brindel, Lise Bruyneel, Sarah Fautré, Myriam Saduis. Graphisme : Lise Bruyneel. Remerciements à Léone Deligne D’Haenens, Jean-Luc Plouvier. Production : Groupe Kuru asbl avec le soutien du Fonds d’aide à la création radiophonique de la Fédération Wallonie-Bruxelles et la complicité de la compagnie Défilé. Durée : 50 minutes
JO DESEURE : « LA JOIE SE TROUVE TOUJOURS DANS LES MARGES »
« Tu ne sais plus qui tu es, qui tu as été, tu sais que tu as joué, tu ne sais plus ce que tu as joué, ce que tu joues, tu joues, tu sais que tu dois jouer, tu ne sais plus quoi, tu joues. »
Dans cette dédicace qui précède le récit Savannah Bay, Marguerite Duras rend hommage à l’actrice Madeleine Renaud qui portera ce texte à la scène en 1983 au Théâtre du Rond Point à Paris avec Bulle Ogier.
Ces mots entre en résonance avec le parcours de la comédienne Jo Deseure où les frontières entre le théâtre et la vie, entre soi et l’autre que l’on incarne sont réelles mais poreuses. Aujourd’hui c’est elle que nous écoutons.
Crédits
Conception, prise de son, réalisation : Caroline Berliner
Montage : Aurélia Balboni
Musique : Isa Stragliati
Mixage : Maria Conterno
Une idée originale d’Elsa Poisot et Camille Khoury
Une production Ecarlate la Cie/ Fame Festival dans le cadre de HerStories
En collaboration avec Le bruit et la fureur asbl
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles Droits des femmes
Avec l’aide de Radio Panik et du Théâtre National Wallonie – Bruxelles
Merci à Jacqueline Bir, Janine Godinas, Nicole Valberg, Karolina Svobodova, Antoine Laubin.